Conditions générales
Conditions générales
1. Les présentes conditions générales ont été établies conformément à la loi du 24 juillet 1987 relative au travail temporaire, au travail intérimaire et au détachement de travailleurs au profit d'utilisateurs, publiée au Journal officiel du 20 août 1987, y compris les conventions collectives applicables de la NAR et du PC 322 travail intérimaire.
2. La mise à disposition de travailleurs intérimaires s'effectue dans les conditions particulières convenues lors de la demande et dans les conditions générales définies ci-après, qui font partie intégrante du contrat conclu entre l'utilisateur et l'entreprise de travail intérimaire et qui ont été établies conformément à la loi du 24 juillet 1987. Toute dérogation à ces conditions générales doit faire l'objet d'un accord écrit préalable.
3. Conformément à la CCT 38 quater du 14 juillet 1999, l'agence de travail intérimaire ne peut traiter les candidats de manière discriminatoire. Elle ne peut donc formuler que des critères pertinents pour l'emploi dans son application.
4. Les présentes conditions générales - et en particulier l'article 6 - s'appliquent également dès que l'utilisateur confie une candidature à l'agence de travail intérimaire et que celle-ci présente des candidats à l'utilisateur.
5. En cas de licenciement prématuré : Si l'utilisateur conclut une relation de travail avec le travailleur intérimaire pour le même poste ou un autre poste avant la fin d'une période minimale de 135 jours ouvrables de mise à disposition, sans l'intervention de l'agence de travail intérimaire, l'utilisateur paiera à l'agence de travail intérimaire, à titre d'indemnité pour le préjudice subi, un montant égal à 30 % du salaire annuel brut du travailleur intérimaire concerné, sauf convention contraire dans la confirmation de commande. L'indemnité susmentionnée est fixée sur la base de l'accord mutuel entre l'utilisateur et l'entreprise de travail intérimaire selon lequel le préjudice subi par l'entreprise de travail intérimaire est basé, entre autres, sur les frais que l'utilisateur devrait dépenser pour la prospection, la sélection et le filtrage d'un travailleur ayant les mêmes qualifications ainsi que sur le manque à gagner de l'entreprise de travail intérimaire, sans préjudice du droit de l'entreprise de travail intérimaire de prouver que le préjudice qu'elle a subi dépasse l'indemnité susmentionnée. L'utilisateur s'engage à informer préalablement et par écrit l'agence de travail intérimaire de son intention de nouer une relation de travail avec le travailleur intérimaire.
Il faut entendre par là la conclusion d'une relation de travail avec le travailleur intérimaire :
La conclusion d'un contrat de travail par l'utilisateur avec le travailleur intérimaire ;
La mise à disposition du travailleur intérimaire par un tiers (y compris une autre agence de travail intérimaire) ;
La conclusion d'un contrat avec le travailleur intérimaire ou avec un tiers qui a recruté le travailleur intérimaire à cette fin ;
conclure un accord de formation avec le travailleur intérimaire (y compris un accord IBO) ;
La conclusion d'une relation de travail entre le travailleur intérimaire et un tiers, lorsque l'utilisateur et ce tiers appartiennent au même groupe, sont des sociétés mères ou des filiales l'une de l'autre, sont des sociétés affiliées ou associées au sens de l'article 11 du Code des sociétés, ont les mêmes dirigeants de droit ou de fait, sont établis à la même adresse ou disposent d'une succursale à la même adresse.
Travailleur intérimaire :
Le travailleur intérimaire sélectionné par l'agence de travail intérimaire qui a été mis à la disposition de l'utilisateur dans le cadre d'un contrat de travail intérimaire ;
le candidat intérimaire qui a été présenté à l'utilisateur par l'agence de travail intérimaire.
On entend par salaire le salaire annuel du travailleur intérimaire :
Si le travailleur intérimaire a déjà travaillé pour l'utilisateur : le dernier salaire horaire applicable x le nombre moyen d'heures par semaine applicable dans le secteur de l'utilisateur x 4,33 x 13,92.
Si le candidat intérimaire n'a pas encore travaillé pour l'utilisateur : le salaire applicable chez l'utilisateur pour la fonction concernée (avec au minimum les barèmes PC de l'utilisateur) x le nombre moyen d'heures par semaine applicable dans le secteur de l'utilisateur x 4,33 x 13,92.
6. L'utilisateur s'engage à communiquer toutes les informations nécessaires au début et pendant la durée du contrat et, en outre, toute modification sans délai et de préférence par écrit à l'agence de travail intérimaire. Sans être exhaustif, ceci s'applique notamment dans les cas suivants : concernant le motif du recours au travail intérimaire et la présence ou l'absence d'une délégation syndicale ; concernant les conditions de rémunération du personnel permanent, y compris les primes et avantages divers qui sont d'usage dans l'entreprise utilisatrice, ainsi que les modalités d'attribution ; concernant les activités, le poste de travail, la qualification professionnelle requise, le résultat des évaluations des risques, la surveillance médicale et les équipements de protection individuelle ; en ce qui concerne d'éventuelles situations de grève ou de lock-out ou d'autres formes de chômage temporaire, pour lesquelles l'utilisateur doit informer l'agence de travail intérimaire à l'avance et dans les délais légaux ; en ce qui concerne un éventuel accident du travail ; en ce qui concerne le fonctionnement de la Dimona, pour lequel toutes les informations doivent être communiquées avant le début du détachement du travailleur intérimaire ; en ce qui concerne la présence tardive ou l'absence des travailleurs intérimaires ; en ce qui concerne les retards dus aux conditions météorologiques ; en ce qui concerne le non-renouvellement d'une mission. L'utilisateur est seul responsable des conséquences découlant du fait qu'il n'a pas fourni ces informations (à temps), qu'il a fourni des informations insuffisantes ou des informations incorrectes. Toutes les rectifications, les notifications tardives et/ou les coûts qui en découlent sont facturés à l'utilisateur au coefficient convenu. L'utilisateur garantit également l'agence de travail intérimaire contre toute réclamation de tiers résultant du fait qu'il n'a pas fourni correctement toutes les informations nécessaires.
7. Dans les cas où l'entreprise de travail intérimaire peut demander une dispense de précompte professionnel pour les travailleurs intérimaires qui travaillent en équipe ou de nuit (les travailleurs intérimaires reçoivent une prime de respectivement 2 % et 12 % du salaire horaire brut), l'utilisateur doit veiller à ce que toutes les dispositions et conditions conformément à l'article 275/5§1 et 2 du CIR92 soient remplies.
A la première demande de l'agence de travail intérimaire (aussi bien pendant qu'après la fin de la collaboration), l'utilisateur doit toujours présenter tous les documents nécessaires et la preuve que les conditions pour obtenir une telle exonération du précompte professionnel sont remplies. Les documents suivants, entre autres, peuvent être demandés à l'utilisateur : règlement de travail, horaires de travail, conventions collectives d'entreprise ou conventions collectives sectorielles qui prévoient le travail en équipe et le travail de nuit, systèmes d'enregistrement des heures, preuve du paiement des primes d'équipe et de nuit, déclarations de travail de check-inat, etc.
L'utilisateur informe immédiatement l'entreprise de travail intérimaire si les dispositions et conditions visées à l'article 275/5§§1 et 2 du CIR92 ne sont plus remplies.
S'il s'avère que les conditions d'application de la dispense de précompte professionnel n'étaient pas remplies ou que l'utilisateur n'a pas notifié immédiatement à l'agence de travail intérimaire les modifications qui font que les conditions et dispositions de l'article 275/5§1 et 2 du Code des impôts sur les revenus ne sont plus remplies, l'agence de travail intérimaire peut récupérer tous les dommages ou pénalités auprès de l'utilisateur.
8. L'utilisateur est seul responsable de l'application correcte des motifs et des délais du travail intérimaire. Dans le cadre de ces motifs, l'utilisateur doit, dans les cas prévus par la loi, fournir les autorisations et notifications nécessaires dans le cadre de l'emploi de travailleurs intérimaires.
9. L'agence de travail intérimaire n'est en aucun cas responsable des conséquences de l'absence et/ou de la présence tardive de ses travailleurs intérimaires.
10. L'utilisateur ne peut recourir aux services de l'agence de travail intérimaire en cas de chômage temporaire, de grève ou de lock-out dans son entreprise. Dans ce cas, l'utilisateur doit en informer immédiatement et par écrit l'agence de travail intérimaire. L'utilisateur ne peut prétendre à aucune indemnité pour le retrait forcé des travailleurs temporaires dans ces cas.
11. Pendant toute la durée de l'occupation du travailleur intérimaire par l'utilisateur, ce dernier veille, conformément à l'article 19 de la loi du 24 juillet 1987, à l'application des dispositions de la législation en matière de réglementation et de protection du travail en vigueur sur le lieu d'occupation. Il s'ensuit que l'utilisateur doit traiter le travailleur intérimaire sur un pied d'égalité avec son personnel permanent, y compris en ce qui concerne le temps de travail, la réduction du temps de travail, la rémunération, les pauses, les jours fériés, le travail du dimanche, le travail de nuit, le bien-être du travailleur intérimaire sur le lieu de travail, etc.
12. Conformément à l'article 10 de la loi du 24 juillet 1987, le travailleur intérimaire a droit au même salaire brut, y compris les indexations et les augmentations conventionnelles, les primes (y compris les primes de pension), les chèques-repas et les autres éléments de salaire que s'il avait été engagé par l'utilisateur dans le cadre d'un emploi permanent. Conformément à l'article 6 des présentes conditions générales, l'utilisateur doit communiquer ces données salariales à l'agence de travail intérimaire. L'utilisateur est seul responsable des conséquences découlant de la non-communication (dans les délais), de la communication incomplète ou incorrecte de ces informations. Outre cette obligation d'information, l'utilisateur doit toujours prendre en charge les éventuelles adaptations salariales pendant ou après la fin du détachement, qui seront répercutées au même coefficient que celui prévu dans l'accord de coopération.
13. Les travailleurs intérimaires bénéficient du même niveau de protection que les employés permanents de l'entreprise en matière de sécurité et d'hygiène au travail. Conformément à l'article 2 de l'arrêté royal du 19 février 1997 relatif à la sécurité et à la santé des travailleurs intérimaires, l'utilisateur est tenu de fournir à l'agence de travail intérimaire une description précise de la qualification professionnelle requise et des caractéristiques spécifiques de l'emploi à pourvoir avant la mise à disposition du travailleur intérimaire. Dans les cas prévus, l'utilisateur doit remplir la fiche de poste et la remettre à l'agence d'intérim avant la mise à disposition du travailleur intérimaire. Le travailleur intérimaire ne peut exercer que les activités mentionnées sur la fiche de poste ou, si aucune fiche de poste n'est requise, celles mentionnées dans les conditions commerciales particulières (plus précisément dans la description du poste de travail). L'utilisateur doit notifier à l'agence de travail intérimaire tout changement concernant le poste de travail (y compris l'étendue des tâches et le lieu) immédiatement et au plus tard dans les 4 heures.
Conformément à l'article 5, 4° de l'AR du 19 février 1997, l'utilisateur est responsable en dernier ressort de la fourniture des vêtements de travail et des équipements de protection individuelle ainsi que de leur nettoyage, réparation et maintien en état de fonctionnement normal, même si un autre accord commercial relatif à leur fourniture a été conclu avec l'entreprise de travail intérimaire.
14. L'utilisateur supporte la responsabilité civile prévue à l'article 1384 §3 du Code civil. Il est donc seul responsable des dommages causés par le travailleur intérimaire à des tiers. Il est recommandé de prévoir une "clause travail intérimaire" dans l'assurance responsabilité civile de l'utilisateur.
L'agence de travail intérimaire n'est pas responsable des dommages causés par le travailleur intérimaire pendant et à la suite de son emploi chez l'utilisateur. L'entreprise de travail intérimaire n'est pas non plus responsable en cas de détérioration, de perte, de vol ou de disparition de matériel, d'argent ou de biens confiés au travailleur intérimaire. L'entreprise de travail intérimaire n'est pas non plus responsable des prêts ou avances en nature ou en espèces accordés par l'utilisateur au travailleur intérimaire.
Le recouvrement des frais résultant de l'utilisation du téléphone à des fins personnelles, des repas pris au restaurant d'entreprise, des achats (non) autorisés, des contraventions, etc. se fera toujours sans la médiation de l'agence pour l'emploi. L'agence ne peut être tenue responsable de ces dépenses.
En ce qui concerne la sélection, la responsabilité de l'agence pour l'emploi ne peut jamais être invoquée si l'utilisateur sélectionne lui-même les candidats intérimaires.
15. Si un travailleur intérimaire est victime d'un accident de travail, l'utilisateur, après avoir pris toutes les mesures urgentes nécessaires, doit immédiatement en informer l'agence de travail intérimaire et fournir toutes les informations nécessaires à l'établissement du rapport d'accident, faute de quoi l'utilisateur sera tenu responsable de tous les dommages éventuels causés par sa négligence.
L'utilisateur est dispensé de cette obligation à condition qu'il s'agisse d'un accident bénin au sens de l'article 1er, 4° AR 12 mars 2003 et pour autant que l'accident ait été inscrit dans le registre des interventions de premiers secours (comme stipulé à l'article I.5-6, §3 du Codex sur le bien-être au travail). En tout état de cause, même en cas d'accident du travail mineur, l'agence pour l'emploi doit être avertie immédiatement.
En outre, en cas d'accident du travail grave, le service de prévention de l'utilisateur établit, conformément au Codex sur le bien-être au travail, un rapport d'accident, complété par le plan d'action de l'utilisateur, et soumet ce rapport à l'agence pour l'emploi dans les cinq jours suivant l'accident. Après remise et complément éventuel par l'agence pour l'emploi, l'utilisateur transmet ce rapport à l'inspecteur de l'administration "contrôle de la législation sur le bien-être au travail" dans un délai maximum de 10 jours après l'accident.
16. L'utilisateur est seul responsable du retour du contrat client signé et (de la surveillance) du retour des déclarations de prestation complétées et signées. A défaut, l'utilisateur ne pourra pas invoquer le défaut de signature au détriment de l'entreprise de travail intérimaire et l'entreprise de travail intérimaire facturera à l'utilisateur les prestations effectivement réalisées par le travailleur intérimaire, le minimum étant les prestations convenues contractuellement.
17. La signature des déclarations périodiques constitue une reconnaissance de l'exactitude des données qui y figurent et de la bonne exécution du travail par le travailleur intérimaire. L'utilisateur ne peut contester la validité de la signature de ses mandataires ou agents. En cas de traitement automatique des prestations, l'utilisateur accepte toujours les données relatives aux prestations telles qu'elles sont transmises à l'agence pour l'emploi par des moyens automatisés ou électroniques, à moins qu'il n'en ait été convenu autrement ou par écrit. Seul l'utilisateur est responsable en cas d'erreurs dans la transmission automatisée.
18. La facturation s'effectue sur la base des prestations telles qu'elles figurent sur les fiches de prestations ou telles qu'elles ont été transmises par voie électronique par l'utilisateur, avec un minimum d'heures demandées par l'utilisateur, sauf si un nombre d'heures inférieur a été effectué du seul fait du travailleur intérimaire et si l'obligation d'information prévue à l'article 6 des présentes conditions générales a été remplie.
En l'absence de relevés de prestations transmis par l'utilisateur (soit par écrit et signés, soit par voie électronique ou automatique), la facturation se fait sur la base des prestations effectivement réalisées par le travailleur intérimaire avec un minimum des heures/contrat demandés par l'utilisateur.
Toutes les heures et tous les jours gratuits accordés et rémunérés par l'utilisateur à son personnel permanent, tels que les jours fériés extra-légaux, les jours de vacances, les jours de transition, etc. auxquels le travailleur intérimaire a également droit, sont également considérés comme des prestations et facturés en tant que tels à l'utilisateur.
La facturation comprend également les autres composantes salariales prévues à l'article 11 des présentes conditions. Toute correction salariale à laquelle le travailleur intérimaire a droit pendant ou après son engagement auprès de l'utilisateur, quel que soit le motif de la correction et quelle que soit la responsabilité des deux parties, est facturée à l'utilisateur au coefficient convenu.
Pour les prestations particulières (telles que les heures supplémentaires, le travail en équipe, de nuit, le dimanche et les jours fériés, etc.), le travailleur intérimaire est rémunéré conformément à la loi et/ou à la convention collective de travail applicable dans les locaux de l'utilisateur. Le supplément de salaire et les éléments de salaire à payer sont facturés à l'utilisateur au même coefficient que celui appliqué au salaire de base du travailleur intérimaire. Les frais de transport, les jours fériés, le premier jour complet de maladie, les primes nettes et les cotisations de pension sont également facturés au même coefficient, sauf accord écrit contraire.
Les frais DIMONA/E sont facturés à l'utilisateur sans application du coefficient convenu.
Le coefficient et/ou le taux convenu, ainsi que les éléments de coût inclus dans la convention qui déterminent les coefficients et/ou le taux, peuvent être augmentés unilatéralement par l'agence en cas de :
d'une augmentation des charges patronales directes ou indirectes ;
tout autre facteur objectif éventuel déterminant le coût salarial réel ou augmentant les frais de fonctionnement de l'entreprise de travail intérimaire ;
de charges supplémentaires imposées à l'entreprise de travail intérimaire par le gouvernement et non prévues lors de la conclusion de l'accord.
Le taux est également augmenté unilatéralement par l'entreprise de travail intérimaire en cas d'augmentation du salaire de base du travailleur intérimaire en vertu des indexations salariales et des augmentations salariales conventionnelles applicables à l'utilisateur.
Les subventions, réductions de charges, exonérations, indemnités, primes, etc. légalement accordées sont toujours imputées sur le coefficient convenu et reviennent donc exclusivement à l'entreprise de travail intérimaire. L'utilisateur ne peut pas réclamer le paiement de ces indemnités puisqu'elles sont incluses dans le tarif convenu, quelle que soit la date d'attribution ou de paiement.
19) Les factures des entreprises de travail intérimaire sont payables au comptant à réception, nettes, sans escompte, sauf accord écrit contraire. Si le paiement n'est pas effectué à la réception de la facture, le montant de la facture sera majoré de plein droit et sans mise en demeure préalable d'un intérêt de 12 % par an. En outre, en cas de non-paiement de la facture à la date d'échéance, des dommages-intérêts forfaitaires de 12 % sur les montants facturés dus, avec un minimum de 85,00 euros et un maximum de 5 000,00 euros, seront dus de plein droit et sans mise en demeure préalable.
Tout mode de paiement accordé par écrit devient caduc de plein droit et toutes les factures - y compris celles non échues - deviennent immédiatement exigibles en cas de non-paiement d'une seule facture, ainsi qu'en cas de signes de solvabilité douteuse dans le chef de l'utilisateur (p. ex. assignation de l'ONSS, redressement judiciaire, etc.).
20. Si l'utilisateur ne respecte pas ses obligations légales ou les présentes conditions générales, ainsi qu'en cas de non-paiement, l'agence de travail intérimaire a le droit, sans être tenue au paiement de dommages-intérêts, de considérer les contrats en cours comme dissous et de retirer immédiatement ses travailleurs intérimaires.
21. Toute contestation de facture doit être adressée à l'agence de travail intérimaire par lettre recommandée dans les 14 jours suivant la date de la facture. Il ne sera pas tenu compte des réclamations transmises en dehors de ce délai ou des réclamations qui ne sont pas spécifiquement justifiées.
22. Les données fournies par l'utilisateur sont reprises dans le fichier clients de l'agence de travail intérimaire. Dès que l'agence de travail intérimaire fournit des services dans le cadre de sa mission, l'utilisateur accepte que ses données personnelles soient utilisées à des fins administratives (par exemple, création d'une base de données clients, envoi de factures, vérification de la solvabilité, etc.) L'agence de travail intérimaire traitera les informations obtenues avec le soin et la confidentialité qui s'imposent et mettra tout en œuvre pour protéger et sécuriser les données obtenues. Les données fournies par l'utilisateur peuvent être utilisées en vue de réaliser des campagnes d'information ou de promotion relatives aux services offerts par l'agence de travail intérimaire. Les coordonnées de l'utilisateur ne peuvent être communiquées à des tiers à des fins de marketing qu'avec le consentement exprès de l'utilisateur. L'utilisateur peut toujours demander gratuitement l'accès, la rectification, la suppression ou le transfert de ses données et s'opposer à l'utilisation des données à des fins de marketing direct.
23. En cas de litige et/ou de non-paiement, seuls les tribunaux de l'arrondissement de Flandre occidentale, département de Courtrai, sont compétents. L'accord entre les parties est régi par le droit belge.